Le gouvernement souhaite réformer le crédit renouvelable
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Depuis quelques temps, les critiques vont bon train sur le crédit à la consommation, malgrès son effet positif, la loi Lagarde mise en place par le gouvernement UMP ne serait pas suffisante pour réduire efficacement le surendettement des consommateurs français.
Durant de nombreux mois, plusieurs associations de consommateurs, l'UFC que choisir en tête de liste, ont dénoncé les divers pratiques manipulatrices effectuées par certaines grandes enseignes concernant par exemple les soi-disant cartes de fidélité délivrées en magasin, qui dans de nombreux cas englobaient un crédit renouvelable.
Au vu de ces différentes manifestations, le gouvernement socialiste a donc annoncé très clairement qu'une reforme du crédit à la consommation serait une de ses principales priorités et que différentes mesures seraient prises d'ici les prochains mois, mais sans pour autant remettre en cause la mise en place de la loi Lagarde de 2011.
"Incontestablement, la loi Lagarde a apporté des améliorations" a souligné M. Hamon.
Le gouvernement prévoyait donc il y a quelques mois de nombreux compléments nécessaire à la loi Lagarde dans le but d'améliorer, entre autre, la protection du consommateur sans pour autant freiner la consommation.
Benoit Hamon, actuel ministre de la consommation, annonçait il y a quelques temps une réforme importante du crédit renouvelable ou voir même une possibilité de "suppression pure et simple".
Depuis quelques jours les choses se précisent avec l'annonce faite par le ministre, le gouvernement privilégierait donc plus un encadrement du crédit renouvelable plutôt que sa suppression.
«Aujourd'hui nous travaillons à des formes d'encadrement supplémentaire du crédit renouvelable sauf à ce que l'évaluation dont je disposerai justifie la mise à l'écart de ce produit-là», affirme Benoît Hamon.
Concernant la création d'un "fichier positif", question une nouvelle fois abordée lors d'une conférence de presse, le ministre s'est dit "pas très favorable" à sa mise en place.
"Dans mes discussions avec des associations de consommateurs, il n'y en avait quasiment pas, à l'exception d'une d'entre elles, qui y était favorable" a déclaré B Hamon.
Dans tous les cas, ce projet de loi envisagé ne sera apparemment pas présenté au parlement avant 2013 a indiqué le ministre de la consommation, le gouvernement attendant pour cela un rapport faisant le point sur la mise en oeuvre de la loi Lagarde de 2011.
Comparer nos crédits à la consommation
Sources Reuters : http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE88904A20120910
Durant de nombreux mois, plusieurs associations de consommateurs, l'UFC que choisir en tête de liste, ont dénoncé les divers pratiques manipulatrices effectuées par certaines grandes enseignes concernant par exemple les soi-disant cartes de fidélité délivrées en magasin, qui dans de nombreux cas englobaient un crédit renouvelable.
Au vu de ces différentes manifestations, le gouvernement socialiste a donc annoncé très clairement qu'une reforme du crédit à la consommation serait une de ses principales priorités et que différentes mesures seraient prises d'ici les prochains mois, mais sans pour autant remettre en cause la mise en place de la loi Lagarde de 2011.
"Incontestablement, la loi Lagarde a apporté des améliorations" a souligné M. Hamon.
Le gouvernement prévoyait donc il y a quelques mois de nombreux compléments nécessaire à la loi Lagarde dans le but d'améliorer, entre autre, la protection du consommateur sans pour autant freiner la consommation.
Benoit Hamon, actuel ministre de la consommation, annonçait il y a quelques temps une réforme importante du crédit renouvelable ou voir même une possibilité de "suppression pure et simple".
Depuis quelques jours les choses se précisent avec l'annonce faite par le ministre, le gouvernement privilégierait donc plus un encadrement du crédit renouvelable plutôt que sa suppression.
«Aujourd'hui nous travaillons à des formes d'encadrement supplémentaire du crédit renouvelable sauf à ce que l'évaluation dont je disposerai justifie la mise à l'écart de ce produit-là», affirme Benoît Hamon.
Concernant la création d'un "fichier positif", question une nouvelle fois abordée lors d'une conférence de presse, le ministre s'est dit "pas très favorable" à sa mise en place.
"Dans mes discussions avec des associations de consommateurs, il n'y en avait quasiment pas, à l'exception d'une d'entre elles, qui y était favorable" a déclaré B Hamon.
Dans tous les cas, ce projet de loi envisagé ne sera apparemment pas présenté au parlement avant 2013 a indiqué le ministre de la consommation, le gouvernement attendant pour cela un rapport faisant le point sur la mise en oeuvre de la loi Lagarde de 2011.
Comparer nos crédits à la consommation
Sources Reuters : http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE88904A20120910