La mise en danger du crédit immobilier à taux fixe
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D'après Les Echos, les représentants des banques de plusieurs pays dont la France auraient souhaité alerter le Comité de Bâle concernant la menace qui plane sur le crédit immobilier à taux fixe. Rappelons que le crédit immobilier à taux fixe est le plus prisé en France car il permet d'éviter toute surprise pour le consommateur et semble être la meilleure solution lorsque les taux sont aux plus bas.
Jusqu'à présent tout ce déroule pour le mieux, mais les banques semblent inquiètes sur la future approche du "risque de taux" qui pourrait s'imposer à elles. Effectivement de nombreuses choses risque de changer car le Comité souhaiterait que les banques gèrent différemment les évolutions des taux d'intérêts.
Aujourd'hui ce sont les banques qui prennent en charge les variations de taux, cependant cette pratique est pointée du doigt par le Comité de Bâle qui ne la juge pas suffisamment sécurisée. Actuellement géré "banque par banque" le Comité souhaiterait à présent une "règle commune" qui serait suivi par chacun des organismes avec des réserves plus conséquente à effectuer afin de mieux compenser les variations de taux.
Cette pratique pourrait donc entraîner une hausse des taux ce qui permettrait aux banques d'obtenir une marge suffisante pour effectuer les réserves demandées. Autre possibilité également, un retour progressif du taux variable qui correspond jusque la à environ 1 demande sur 7 des crédits immobiliers. Le taux variable ne semble intéressent pour le client seulement au moment ou les taux son au plus fort, actuellement c'est justement tout le contraire.
Pour finir, le client serait ainsi la première victime de cette réforme cependant les banques s'inquiètent également des conséquences de ce changement et des répercutions négatives qu'elles causeraient sur le marché du crédit immobilier en France.
Source : Les Echos
Jusqu'à présent tout ce déroule pour le mieux, mais les banques semblent inquiètes sur la future approche du "risque de taux" qui pourrait s'imposer à elles. Effectivement de nombreuses choses risque de changer car le Comité souhaiterait que les banques gèrent différemment les évolutions des taux d'intérêts.
Aujourd'hui ce sont les banques qui prennent en charge les variations de taux, cependant cette pratique est pointée du doigt par le Comité de Bâle qui ne la juge pas suffisamment sécurisée. Actuellement géré "banque par banque" le Comité souhaiterait à présent une "règle commune" qui serait suivi par chacun des organismes avec des réserves plus conséquente à effectuer afin de mieux compenser les variations de taux.
Cette pratique pourrait donc entraîner une hausse des taux ce qui permettrait aux banques d'obtenir une marge suffisante pour effectuer les réserves demandées. Autre possibilité également, un retour progressif du taux variable qui correspond jusque la à environ 1 demande sur 7 des crédits immobiliers. Le taux variable ne semble intéressent pour le client seulement au moment ou les taux son au plus fort, actuellement c'est justement tout le contraire.
Pour finir, le client serait ainsi la première victime de cette réforme cependant les banques s'inquiètent également des conséquences de ce changement et des répercutions négatives qu'elles causeraient sur le marché du crédit immobilier en France.
Source : Les Echos